Éric-Emmanuel Schmitt – Lorsque j’étais une œuvre d’art
Le Livre de Poche,
252 pages.
Un des plus importants titres de l’écrivain pour l’instant, du moins un des premiers lu et qui m’avait correctement marqué. Il faut avouer que le père Schmitt a eu une idée assez fantasque qu’il a exploitée dans les grandes largeurs. Il est d’autant plus méritant qu’il n’a pas dépassé 250 pages bien aérées. Bravo. Il était une fois… Tazio a … Lire la suite →
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