John Grisham – Le clandestin
Pocket,
408 pages.
VO : The Broker. Un bon petit Grisham, sans plus. L’histoire ne casse définitivement pas trois pattes à un vilain canard, c’est seulement pour les méthodes d’apprentissage d’une nouvelle identité que ce roman peut être lu. Et encore… Impression que le père John tourne en rond, cet auteur n’est hélas pas de la génération du Tigre. Il était une fois… … Lire la suite →
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