Joël Egloff – L’homme que l’on prenait pour un autre
Buchet Chastel ,
208 pages.
Titre vis-à-vis duquel Le Tigre avait fondé un espoir tout relatif, voilà que j’ai été correctement déçu. Ni vraiment désagréable, mais ni petite étincelle qu’on pourrait légitimement attendre à partir de l’excellente idée qu’a eu Joël Egloff. Un homme banal qu’on confond avec n’importe qui, un peu comme ce roman hélas. Il était une fois… « Avec un visage très commun, … Lire la suite →
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