Jaume Cabré – Confiteor
Babel,
920 pages.
VO : idem. Jaume Cabré signe ici un roman « cathédrale » aussi monstrueux qu’impressionnant, une fresque décousue (en apparence) et furieuse qui sonde le mal à travers les âges. L’existence d’un être balloté par sa famille et bousculé par les aléas historiques, servie par une écriture riche et absolument non linéaire. Un chef d’œuvre hélas incompris de votre serviteur qui n’a pu … Lire la suite →
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